Lors de sa déclaration de candidature, Emmanuel Macron a dévoilé un programme de droite qui, comme l’a dénoncé Anne Hidalgo constitue une grande violence sociale.

L’absence de la notion de pouvoir d’achat dans le discours l’illustre.

Malgré les gilets jaunes et des mobilisations sociales d’ampleur durant son quinquennat, le Président de la République persiste et signe. Le « mal français » semble définitivement imputable aux classes moyennes et populaires. Report de l’âge de départ légal à 65 ans, conditionnement du RSA à une activité (cela semble s’apparenter à un travail donc pourquoi ne pas faire de vrais contrats ?), poursuite de la réforme de l’assurance-chômage… les exemples sont nombreux et démontrent un acharnement qui ne fera qu’exacerber les tensions et creuser un peu plus les inégalités.

A côté de cela, aucune proposition pour lutter contre l’évasion fiscale, pour contraindre les grandes entreprises mondiales à payer leurs impôts en France, pour taxer davantage les très hauts revenus…

Du côté de l’éducation, Emmanuel Macron propose une mise en concurrence des professeurs. Laissant entendre qu’il y a les bons et les mauvais, sous entendant une certaine fainéantise de leur part, le Président en exercice, dégrade un peu plus l’image des enseignants aux yeux de l’opinion publique.

En outre, malgré les crises que nous traversons aujourd’hui, les mesures proposées en matière de Santé et de logement ne sont pas à la hauteur. Quant à l’agriculture, les propositions du candidat Macron, ne prennent pas suffisamment en compte les répercussions de la guerre en Ukraine.

Face à cette candidature et à un bilan que le Président de la République semble vouloir occulter, notre candidate Anne Hidalgo offre une alternative crédible et ambitieuse en mettant les questions sociales et écologiques au cœur de son projet présidentiel : https://www.2022avechidalgo.fr/notre_progra