A cette occasion, j’ai tenu à rencontrer l’ensemble des syndicats agricoles. Lors de mes échanges avec leurs représentants, les négociations commerciales relatives à la loi EGALIM 2 se sont imposées. En effet, elles se terminent ce soir et illustrent mes craintes au moment du vote du texte. La loi montre ses limites en ne sanctuarisant pas les coûts de production qui flambent et qui vont continuer à flamber avec la guerre en Ukraine.

Cette crise ukrainienne était également dans tous les esprits. Les agriculteurs sont inquiets face aux risques et à l’incertitude qu’elle engendre. 
Autre sujet d’inquiétude, la stagnation de la consommation du bio, notamment en lait qui a pour conséquence le paiement de 30% du lait bio au prix du lait conventionnel. Beaucoup d’autres sujets ont été abordés. J’ai notamment rencontré le Président de l’association Fransylva, première organisation rassemblant les propriétaires de forêts privées avec qui j’ai échangé sur la situation de la forêt périgourdine.